Catégorie : Coaching

Gratitude : le pouvoir d’un merci sur votre bien-être

Gratitude : le pouvoir d’un merci sur votre bien-être

Et si dire merci vous aidait à booster votre bien-être ? Comment ressentir de la gratitude et remercier peut améliorer votre gestion du stress ? Comment pratiquer la gratitude ? Quels en sont les bienfaits ? Le pouvoir d’un merci vous est délivré dans cet article de coaching de vie.

La gratitude, c’est quoi ?

La gratitude, c’est le fait de ressentir de la reconnaissance pour toutes les belles choses présentes dans notre vie et de l’exprimer en disant merci.

Pour exemple, rappelez-vous quand les français ont applaudi aux fenêtres de leur logement pendant le 1er confinement. Ils manifestaient ainsi leur gratitude aux soignants et aux travailleurs qui œuvraient face au virus.

Ou encore les murs de la gratitude qui ont fleuri dans certains hôpitaux. Où s’affichent, sous formes de petits mots et de dessins d’enfants, les mercis au personnel soignant.

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Quels sont les bienfaits de la gratitude ?

Ce qui est bénéfique, c’est de porter notre regard et de concentrer notre attention sur tout qui est déjà présent de bon dans notre vie. Tout ce qui est déjà là, accomplies par nous et par les autres aussi, puis de l’exprimer, soit à l’écrit, soit à l’oral.

La pratique de la gratitude réduit sensiblement le cortisol, l’hormone du stress et favorise la production d’ocytocine, l’hormone du bien-être, voire celle d’un anticorps appelé immunoglobuline A qui agit dans la défense contre les… virus !

C’est extrêmement puissant. Plus vous pratiquez le pouvoir d’un merci, plus vous allez vivre dans l’amour de vous et de l’autre. Et plus vous serez en paix, comme « shooté » de bonnes hormones. On en a tous bien besoin quand on voit que 53% des français n’ont pas le moral d’après une étude sortie pendant le second confinement !

Le double effet de la gratitude

C’est une pratique merveilleuse car elle a un effet boule de neige. En effet, ça procure beaucoup de bien-être à la personne qui pratique la gratitude en disant merci, mais aussi à la personne qui reçoit ce merci.

Ne sous-estimez pas le pouvoir d’un merci et l’énergie qu’il dégage et propulse. Un merci, un compliment de quelques instants peut marquer quelqu’un toute une vie.

Et souvent la personne qui reçoit va devenir à son tour plus bienveillante envers les autres, en rayonnant à son tour cette forme d’amour universel, parce que oui, il s’agit bien de ça !

Comment pratiquer la gratitude ?

La pratique de la gratitude développe une véritable philosophie de vie qui améliorer votre bien-être mais aussi celui des personnes que vous croiserez. Voici quelques façons de pratiquer la gratitude au quotidien.

1- Ressentir de la reconnaissance pour sa journée, tous les soirs

Il s’agit de se recentrer sur les belles choses vécues dans la journée. Pour cela, je vous propose d’en écrire au moins 3 dans un journal, de préférence le soir, par exemple avant d’aller se coucher. Tout en les écrivant, ayez de la reconnaissance pour avoir vécu ces 3 bons moments dans votre journée. Ressentir de la gratitude vous apportera beaucoup de bien-être. Et vous vous endormirez avec de jolies pensées.

De plus, plus on le fait, plus on rééduque notre attention vers plus de positivité. Sinon, celle-ci va se tourner naturellement vers la négativité. J’ai d’ailleurs déjà abordé la technique des 3 bons moments à se remémorer en détails tous les soirs dans un article pour booster la positivité.

2- Dire merci à votre entourage, tout simplement !

Et si vous proposiez le « jeu des mercis » à table avec la famille ? Il s’agit de dire à voix haute un grand merci à ses proches, son partenaire, ses parents, ses enfants, etc… pour exprimer sa reconnaissance aux membres de notre entourage. On ne dit pas assez aux gens qu’on aime qu’on les aime. Ça peut paraître simpliste comme ça, mais c’est extrêmement puissant pour celui qui le reçoit.

3- La lettre de gratitude

C’est un outil sans doute encore plus puissant : écrire une lettre pour dire merci à quelqu’un qui a compté. En effet, le simple fait d’écrire ce pour quoi on est reconnaissant permet de se mettre dans une autre énergie vis-à-vis des personnes pour lesquelles on a de la gratitude. En projettant sur le papier, vous allez structurer votre pensée vers des émotions positives. Vous allez dire merci à une personne qui a été présente pour vous à un moment de votre vie. Peut-être que celle-ci ne le sait même pas, peut-être qu’elle ne se doute même pas de l’impact que cela a eu pour vous. Vous allez ressentir beaucoup d’amour à le lui écrire. Et celle-ci croyez-moi en recevra tout autant.

Et si vous pensez à quelqu’un mais qui est décédé ou que vous ne souhaiter pas vraiment recontacter, écrivez votre lettre de gratitude, oui même sans l’envoyer. Parce que vous vous ferez du bien et parce que peut-être que finalement, vous l’enverrez à son destinataire. Ou qu’il soit. Qui sait ?

4- La gratitude pour se réconcilier

Oui, ça peut paraître étrange mais il arrive que parfois, nous nous emportions et que nous regrettions nos propos après coup. Seulement voilà, le temps passe, les occasions aussi, la fierté, l’égo ou la timidité font que nous ne revenons vers cette personne.

Alors, si vous êtes prêt, recontactez cette personne avec qui vous vous êtes fâchée ou peut-être disputée. Profitez-en pour reconnaître vos torts, lui faire ses excuses et la remercier pour ce que la situation vous a peut-être permis d’apprendre sur vous. La gratitude, ce pouvoir du merci est tellement puissant qu’il guérit tout lorsqu’elle fait depuis le cœur.

5- Et si vous pratiquiez la gratitude pour vous ?

Et oui ! Remerciez-vous aussi pour tout ce que vous fait, dit, agit. Dîtes-vous merci aussi d’avoir pris ce temps pour vous et pour l’autre !

Merci : Gratitude à vous !

Avant de faire votre bilan 2020, remerciez ! En ces temps de fêtes, c’est le moment d’être dans un partage chaleureux autrement que par les gestes. Et quoi de mieux que de communiquer par la parole son amour de l’autre, en cette fin d’année.

Et c’est pourquoi, moi aussi, je vous dis merci : à vous ici qui me lisez, à vous qui me suivez sur les réseaux sociaux, à vous qui participez aux ateliers et aux programmes en ligne, à vous également mes chères clientes qui m’êtes fidèles !

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Merci de votre participation, merci de votre engagement à réaliser ensemble et à contribuer à diffuser la positivité autour de vous, merci de me donner l’envie de poursuivre cette merveilleuse activité.

Merci, tout simplement merci !

Je reste à votre écoute si vous avez besoin d’aide pour retrouver plus de bien-être, de joie et de légèreté dans votre esprit comme dans votre vie.


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Future maman : quel inconscient familial je transmets ?

Future maman : quel inconscient familial je transmets ?

Vous vous préparez à devenir maman ? Ou vous êtes déjà une jeune maman et vous voulez le mieux pour votre enfant ? A moins que vous n’ayez tout simplement un projet de grossesse ? Et si le fait de devenir mère se préparait aussi au niveau psycho-énergétique, trans-générationnel ? Comment accueillir au mieux son enfant au creux de son ventre, de son foyer, de sa vie, mais aussi de son esprit et de celle de la famille ? Quel est l’inconscient familial que je transmets en tant que maman ?

Ces questions se posent aussi pour le papa. Et d’ailleurs, je vous invite à transposer tout ce raisonnement au rôle du papa. Seulement, j’ai pris ici le parti de m’adresser à ma clientèle féminine pour répondre à la question :

Qu’est-ce que je transmets inconsciemment à mon enfant quand je deviens maman ?

Pour y répondre, nous allons aborder la question sous l’angle de la psycho-généalogie et de l’épigénétique. Et nous verrons quelques exercices pratiques.

Inconscient familial : une autre préparation à l’accouchement pour être maman

Peut-être que vous vous étonnez de cette vision de la préparation de jeune maman. Et pourtant, nombre d’accouchements soulèvent de grandes prises de conscience : sur le sens de la vie mais aussi de la mort, sur notre propre existence comme sur celle de nos propres parents.

Sans lien avec le phénomène de dépression post-partum dû à la chute d’hormones brusques après l’accouchement, il existe aussi des cas de dépression suite à des souvenirs de traumatismes qui remontent à la mémoire à ce moment-là.

Oui, devenir maman est un vrai bouleversement et un merveilleux cadeau : celui de la VIE ! Celle avec un grand V dans tous ses aspects.

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Et si souvent, on réfléchit à comment être dans les meilleures conditions physiques, matérielles, émotionnelles et mentales pour accueillir son bébé, il est tout aussi intéressant de s’interroger sur l’héritage de l’inconscient familial qu’on lui transmet.

Car que vous le vouliez ou non, de générations en générations, il existe des comportements, des croyances, des transmissions verbales ou des non-dits, plus ou moins pesants, qui agissent sur votre vie par un phénomène de répétition inconscient.

Devenir maman : transmettre l’inconscient familial en héritage

Devenir maman peut être l’occasion de s’interroger sur le contenu de notre héritage familial pour mettre en lumière notre propre histoire mais aussi celle moins connue de nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, et peut-être de mettre à jour certains schémas répétitifs. L’idée est d’accueillir notre enfant dans les meilleures conditions sur un autre plan.

Bien se connaître est important tout comme bien connaître notre bagage familial. De génération en génération, se transmettent des schémas, des mémoires dont parfois on en a même perdu l’origine.

L’humour de Six in the city

C’est ainsi que de nombreuses humoristes ou illustratrices actuelles tournent en dérision leur propre statut de maman qui finalement, reproduisent les mêmes phrases ou les mêmes comportements que leurs propres mères, desquelles elles se moquaient tant quand elles étaient plus jeunes.

En-dehors de la compréhension de ce qu’implique désormais le rôle de mère, si cela peut être drôle, il arrive que parfois cela tourne à l’absurde. Connaissez-vous l’histoire du rôti ?

Héritage de l’inconscient familial de la maman : l’histoire du rôti

J’adore cette histoire, tellement elle parlante. Alors voilà. C’est l’histoire d’une femme qui, il y a 2 générations, prépare son rôti dans sa cuisine : elle l’assaisonne, le badigeonne puis coupe les deux extrémités, le met au four avant de le servir à table. Sa fille reproduit les mêmes gestes jusqu’à ce que sa propre fille, devenue adulte, le prépare ainsi.

Le mari de cette dernière lui demanda alors : « mais pourquoi prépares-tu ton rôti ainsi, en lui coupant les 2 extrémités ? ». Celle-ci répondit que c’était parce que sa mère le faisait ainsi. « C’est étrange, personne ne fait ça. Pourquoi le préparer ainsi ? » lui demanda son mari.

Le dimanche suivant, elle décida de poser la question à sa mère qui lui répondit : « parce que ma mère a toujours fait ainsi ». Le lendemain, elle appela alors sa grand-mère et le lui demanda. Celle-ci lui répondit : « bah, pour qu’il rentre dans le plat à mettre au four, pardi ! »

Morale de l’histoire du rôti :

Tout le monde coupait les 2 extrémités du rôti alors que les plats au four, depuis, s’étaient bien agrandis ! C’est un geste hérité de mère en fille qui avait perdu son origine et tout son sens. Un automatisme inconscient. Et il y en a beaucoup dans chaque famille, croyez-moi !

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Là, c’est une histoire drôle mais imaginez maintenant l’histoire d’une petite fille ayant subi des attouchements dans sa famille à une époque loin du #metoo. L’histoire est cachée, non-dite, refoulée. Elle va produire chez la femme, des réactions, comportements voire des symptômes physiques ou maladies psychosomatiques qui vont être transmis à sa fille qui elle-même va les transmettre à sa propre fille. La petite-fille se retrouvera donc avec des réactions émotionnelles, des habitudes comportementales, des modes de pensées ou croyances voire des problèmes de santé en lien avec cette mémoire, mais dont elle n’aura aucune conscience de l’origine.

C’est ce que traitent certaines approches thérapeutiques spécifiques et la science étudie de plus en plus.

Quels sont les outils pour mettre en lumière cet inconscient familial de parent ?

Connaître notre histoire avec la psycho-généalogie

La psycho-généalogie :

C’est une approche thérapeutique qui consiste à rechercher dans la vie de nos ancêtres, les sources de nos éventuels problématiques émotionnelles, relationnelles, psychologiques mais aussi de certaines maladies ou de la répétition de nos comportements dans certaines situations. Accompagnée d’un thérapeute spécialisé, il s’agit de remonter le fil de notre lignée pour découvrir les histoires de vie qui nous ont précédées et de faire les liens avec notre propre histoire. En effet, notre vie commence dans l’arbre généalogique… C’est la spécificité du désir des parents et de l’ensemble de la lignée, qui précède chaque naissance. C’est l’histoire familiale dans son ensemble, c’est-à-dire les expériences des branches maternelles et paternelles qui donnent forme au présent de l’enfant. Elles vont influencer son devenir.

Pourquoi cet outil ?

Il est essentiel de s’intéresser à la genèse de notre conception car les enjeux de notre conception sont susceptibles de réapparaître lorsque l’on devient soi-même parent. Cela explique d’ailleurs l’apparition de nombreuses maladies au moment de l’annonce d’une grossesse, de l’accouchement ou de la déclaration civile de l’enfant. Cela peut aussi apparaître lorsqu’on atteint l’âge du géniteur, particulièrement le parent du même sexe que nous, au moment où celui-ci nous a conçu.

L’idée est de découvrir des schémas de répétitions dans notre arbre généalogique ou des « trous », et pas seulement chez nos parents et grands-parents. Aussi chez les oncles, tantes, cousins, cousines… Les répétitions peuvent porter sur les dates : de naissance, de mort, de mariage, d’évènements important. Mais aussi sur les prénoms, les métiers, le rapport à l’argent ou les maladies… La prise de conscience et la parole serait alors de puissants vecteurs de guérison.

Connaître l’influence de nos traumas sur nos gênes avec l’épigénétique

L’épigénétique

C’est l’influence de l’environnement sur nos gênes au point de pouvoir légèrement les modifier. Parmi les évènements particulièrement mis en avant, on parle beaucoup des situations de stress traumatique. Celles-ci pourraient transformer nos génomes jusqu’à 3 générations après un traumatisme vécu par l’un de nos ancêtres. Cela pourra expliquer certaines problématiques de santé comme certains mécanismes de fonctionnement.

Exemple de la Seconde Guerre Mondiale

Les études ont surtout été faites sur les personnes ayant vécu le traumatisme de la Seconde Guerre Mondiale. C’est ainsi qu’est montré un exemple. Celui d’une femme juive vivant la famine de l’holocauste et ayant donné naissance à des enfants très petits qui eux-mêmes ont donnés naissance à d’autres enfants très petits alors que les conditions avaient changés. Le stress s’enregistrerait au niveau des mémoires cellulaires en modifiant un bout de nos gênes.

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Comment mettre en lumière votre inconscient familial de maman ?

Être maman, c’est prendre conscience de qui on est, de quelle place on a dans notre arbre généalogique et de quel héritage on transmet à son enfant. Alors comment faire ?

1. Tenir un journal pour votre enfant

Écrire dans un carnet dédié pour transmettre à votre enfant, son histoire à lui, comment s’est passé votre grossesse, quel évènement important, émotions fortes avez-vous eus, que ce soit en lien ou non avec la grossesse. On sait que l’enfant absorbe tout même intra-utérin. Notez pour lui permettre de savoir avec authenticité son histoire.

2. Vous connaître vous 

Par exemple, demandez-vous quel enfant étiez-vous ? Qu’aimiez-vous faire étant enfant ? Écrivez vos rêves d’enfant, vos activités favorites.

Et puis reprenez contact avec l’une de ces activités plaisir de votre enfance. C’est bon pour le moral en plus.

3. Connaître les schémas hérités de vos parents 

Prenez une feuille et notez comment vous décriviez votre mère lorsque vous étiez enfant, vers 8-10 ans. Comment la trouviez-vous au niveau de son comportement avec vous ? Comment était-elle avec votre père ou son partenaire ? Avec les autres ? Comment montrait-elle son affection avec vous ? Votre père ? Les autres ? Quel rapport avait-elle avec l’argent, le travail, la santé ? Avec vous, avec votre père, avec les autres ?

Maintenant, observez ce que vous avez noté et prenez conscience du schéma que vous reproduisez. Comment vous comportez-vous, vous ? La conscientisation est le premier pas vers la guérison.

4. Connaître l’histoire de vos parents, grands-parents, arrière-grands-parents 

Bientôt les fêtes, c’est l’occasion de retrouver la famille ou de les appeler pour souhaiter la bonne année. C’est idéal pour discuter des histoires de famille : comment était leur enfance, leur adolescence, leur vie d’adulte, quelles sont les anecdotes familiales ? Aussi celles vous concernant. Notez-le dans ce carnet dédié.

5. Faire votre arbre généalogique 

Retrouvez les actes de naissance, de mariage, de décès, connaître le métier, les réussites et les épreuves des membres de la famille, les anecdotes, les histoires cachées, mettre à jour les non-dits…

Vous aurez ainsi un visuel de votre arbre auquel vous ajouté un descendant. Pour le faire, vous pouvez prendre plusieurs feuilles et en les scotchant entre elles.

Remarquez la structure de votre arbre généalogique : a-t-il des trous, de nombreuses branches ou pas du tout, d’un côté, de l’autre ?

Observez vos sensations corporelles, vos ressentis, vos émotions à la vision ou l’évocation de certaines parties de vos ancêtres.

Notez s’il y a des répétitions de dates. Remontez les générations pour identifier la génération où l’évènement déclencheur a eu lieu. Là se trouve peut-être un trauma à révéler pour guérir certains comportements répétitifs, réactions instinctives, etc….

6. Pour aller plus loin, renseignez-vous 

Utilisez les archives départementales sur internet pour faire vos recherches et retrouver vos actes de famille.

Lisez les livres spécialisés d’Anne Ancelin Schützenberger qui a rendue la psychogénéalogie  plus accessible au grand public dans son livre « Aïe, mes aïeux ». Mais aussi de Elisabeth Horowitz « Se libérer du destin familial » ou « Comment déprogrammer son destin par la psychogénéalogie » d’elle et de Pascale Reynaud. Ou encore, de Bruno Clavier « Les fantômes familiaux, psychanalyse transgénérationnelle ». Des lectures passionnantes.

Faites-vous accompagner par un thérapeute spécialisé en psycho-généalogie pour vous aider à réaliser votre arbre sous la forme d’un génosociogramme et vous aider à libérer des souffrances que vous pourriez identifier.

En conclusion…

Relax : nous transmettons tous des schémas inconscients. Et puis, chacune fait du mieux qu’elle peut, avec les ressources dont elle dispose au moment où elle vit les choses. Vous, votre maman, votre grand-mère mais aussi votre partenaire, votre père, grand-père, etc… Donc on sort de la culpabilité, mais aussi de la victimisation.

On agit : d’abord pour soi et ensuite pour nos enfants mais aussi les générations précédentes et suivantes. On dit qu’on guérit ainsi sur 7 générations lorsqu’on fait cette introspection.

Dans tous les cas, c’est un travail extrêmement thérapeutique pour accueillir votre enfant en pleine de conscience. Avec amour et authenticité. En pleine présence de qui vous êtes, d’où vous venez tous les deux et de quelle place il va prendre dans l’arbre généalogique. Rappelez-vous aussi : les enfants sont nos miroirs et sont souvent nos révélateurs.

Le plus cadeau qu’une maman puisse faire à son enfant : être bien physiquement, émotionnellement, mentalement, spirituellement. Pleinement là présente et pleine d’amour inconditionnel, sans jeu d’ombre.

Et si vous avez besoin d’aide pour y voir plus clair :

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Je vous souhaite une très belle grossesse et un beau cheminement de maman, celui de toute une Vie. Vive la Vie !


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Syndrome de la cabane ou de l’escargot, késako ?

Syndrome de la cabane ou de l’escargot, késako ?

Envie de rester à la maison, de ne pas mettre le pied dehors malgré le dé-confinement ? Peut-être souffrez-vous du syndrome de la cabane ? Alors qu’en cette mi-novembre 2020, beaucoup d’entre nous attendent le dé-confinement total avec impatience, d’autres le redoutent et vivent ce moment comme une angoisse.

L’apparition du syndrome de la cabane suite au confinement

Ce syndrome de la cabane est un phénomène qui s’est amplifié à l’annonce du 1er dé-confinement en mai dernier. Après avoir été totalement confinés pendant plusieurs semaines, certains d’entre nous n’ont plus du tout envie de sortir de chez eux comme ils le faisaient avant. D’ailleurs, ces personnes ont apprécié le retour au confinement, d’autant plus dans un climat morose et anxiogène : crise sanitaire mais aussi attentats, le tout en pleine saison automnale… Dur, dur pour le moral !

Pourquoi on parle de « syndrome de la cabane » ?

Et bien, c’est un peu comme lorsque, enfants, nous jouions au loup et que nous courrions nous réfugiez dans notre cabane pour nous protéger. En sortir est difficile car cela veut dire prendre un risque. Exactement comme nos ancêtres préhistoriques !

Or, le contexte actuel réunit tous les facteurs de risque, à commencer par la peur de mourir qui est la peur primaire et la base de tout trauma.

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Avec le confinement, nous avons construit une bulle protectrice, notre foyer, notre cocon avec nos habitudes de vie qu’on a mises en place pendant des semaines. Cette cabane ou grotte est devenue, pour certains d’entre nous, le seul lieu où nous nous sentons en sécurité car protégés de la réalité parfois violente, dure, agressive. C’est comme un rejet du monde extérieur.

Syndrome de la cabane et stress post-traumatique

On peut alors parler de trouble de stress post-traumatique qui est souvent sous-diagnostiqué en France. On retrouve ce phénomène dans l’ensemble de la population, particulièrement chez les malades de la COVID, et ceux passés par la réanimation. D’ailleurs, une personne sur 4 développe un trouble de stress post-traumatique après un séjour en réanimation (source : étude citée par Coraline Hingray, psychiatre du CHU de Nancy).

Comment se manifeste ce syndrome de la cabane ?

Avec la COVID19, nous pouvons devenir anormalement anxieux, avoir peur de sortir, de croiser du monde, de tomber malade ou de transmettre le virus. Nous développons alors des troubles dits « d’hyper vigilance« , c’est-à-dire que nous sommes plus attentifs à tout, tout le temps. Nous pouvons aussi être plus sujets à des rituels obsessionnels de lavage et de désinfection. Il peut y avoir également des difficultés à s’endormir ou le développement de troubles alimentaires ou d’addictions plus marquées (tabac, alcool, cannabis, etc…). Si vous souffrez de des troubles, je vous invite vivement à consulter.

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Les troubles de stress post-traumatique arrivent suite un évènement marquant qui a réveillé notre peur de mourir. Ce stress entraînent plusieurs conséquences comme vu plus haut. Des cauchemars, le fait d’éviter des situations ou des personnes en lien avec le virus, d’être en état d’alerte permanent qui fatigue physiquement et nerveusement. On parle de trouble de stress post-traumatique lorsqu’il y a une persistance des symptômes pendant plus d’un mois après l’évènement traumatisant. Et en 2020, l’un des évènements traumatisants peut être le contexte sanitaire de la COVID-19 et son confinement.

Syndrome de la cabane… ou de l’escargot !

En fait, cette sensation est baptisée par certains le « syndrome de la cabane » là où d’autres parlent du « syndrome de l’escargot ». Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que cette sensation correspond à l’envie de se recroqueviller, de rentrer dans une coquille rassurante. Un endroit où on se sent protégé, en sécurité, dans un refuge, dans sa coquille... Chez soi.

Qui est le plus touché par ce syndrome ?

Tout le monde peut être touché. Que ce soit une personne lambda, une personne malade ou quelqu’un qui a eu un proche touché par la COVID ou qui a perdu une personne décédée de ce coronavirus. Le sont d’autant plus les personnes ayant de fort terrain anxieux à la base.

Mais comme la situation dure sur plusieurs mois, plusieurs personnes peuvent développer ce syndrome à cause de l’hyper-vigilance maintenue au quotidien.

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Et si on « aime » rester dans sa cabane, c’est grave docteur ?

En réalité, comme pour tout, l’équilibre est la clé. Alors bien sûr, il convient d’évaluer la situation : est-ce que vous restez dans votre cabane pour éviter quelque chose, donc par peur. Ou est-ce que vous y rester par choix et donc guidé par la joie ? Si vous mettez en place un comportement d’évitement, ce n’est pas toujours sain. Suivez les conseils plus loin.

Par contre, il est certain que les personnes plus introverties apprécient plus particulièrement ces périodes de confinement. Attention, l’introversion n’est pas la timidité mais le fait d’être tourné à l’intérieur. Cela signifie qu’une personne introvertie recharge son énergie en faisant des activités tournées à l’intérieur d’elle-même, en faisant des activités tournées vers elle, en étant seule.

Contrairement à l’extraverti qui recharge ses batteries en entrant en contact avec d’autres personnes, en faisant des activités en extérieur, tournées vers l’extérieur. Quand un introverti fait de l’extraversion, ça le fatigue plus qu’une personne qui naturellement est tournée vers l’extérieur. Et vice versa : un extraverti dépense plus d’énergie en restant seul chez lui. A contrario, les personnes plus extraverties attendent avec impatience de pouvoir à nouveau sortir plus librement, de voir du monde, d’échanger avec la famille, les amis, etc..

L’harmonie est en toute chose : un peu d’extraversion, un peu d’introversion sont nécessaires. Pour favoriser introspection ET interaction sociale.

Ce qui fait que pour certains, le confinement est agréable et pour d’autres non. Cela dépend aussi des conditions de vie de chacun.

Des solutions pour lutter contre ce syndrome de la cabane

Alors que faire pendant cette période pour sortir de sa cabane ? Je vous propose ci-dessous des pistes de solutions.

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1. Déculpabiliser !

L’appréhension du dé-confinement est tout à fait normal. C’est comme un processus de deuil : nous ne revivrons pas tout de suite dans le quotidien tel que nous le connaissions jusqu’à présent. Et oui, nous pouvons avoir de la difficulté à nous projeter dans cette nouvelle réalité. C’est OK.

2. Arrêter de se dévaloriser

Oui, déjà on arrête de se juger de manière négative, de se comparer aux autres, à ceux qui ont envie de se dé-confiner, en se disant qu’on n’est pas normal. En réalité, personne ne sait dans le fond ce que l’autre pense, ressent, etc… Et peut-être que « les autres » (qu’on pense toujours mieux que nous), vivent eux aussi des angoisses sans le montrer, voire d’autres anxiétés et difficultés.

3. Pratiquer la positive attitude !

Après avoir appliqué ces bons conseils, il est intéressant de po-si-ti-ver. Pour cela, posez-vous ces quelques questions :

  • Qu’est-ce que ce confinement total ou partiel vous apporte de bon ?
  • A quel besoin important pour vous il vous permet peut-être de répondre ?
  • Quel cadeau cette année 2020 finalement vous apporte ?

Oui même si vous terminez l’année sur les rotules ou les genoux, en rampant, demandez-vous : quel est le cadeau caché ? Qu’est-ce que cela vous a permis de révéler/d’obtenir/de faire, finalement de bon ?

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4. Tirer le meilleur pour la suite

Et une fois que vous avez identifié le positif, déterminez comment vous allez continuer à y répondre en vous adaptant. Par exemple, cela peut être de prendre du temps pour soi. Donc trouvez quelle activité il est possible de faire dans le contexte actuel pour continuer. Puis, planifiez quand vous la pratiquez pour vous apporter ce réconfort et pendant combien de temps.

Pour vous booster à positiver, j’organise une session de coaching tous les jeudis de 11h à midi. C’est gratuit ! Et en vous inscrivant, vous avez accès à toutes les rediffusions.

5. Échanger, parler, communiquer !

Tout simplement, parlez avec vos amis, votre famille de ce que vous vivez et de ce que vous ressentez. Vous n’êtes pas les seuls à vous poser ces mêmes questions. Effectivement, cette période a permis à beaucoup d’entre nous d’effectuer une forme d’introspection, de prendre conscience de la façon dont nous utilisons notre temps, de ce qui est finalement important pour nous. Il y a donc un besoin de changement très fort, un phénomène courant lorsqu’on vit des évènements de vie qui nous interroge sur le sens de notre existence.

Nous réalisons que nous n’avons qu’une seule vie. Alors comment souhaitez-vous en profiter pleinement ? Répondez et ensuite agissez !

6. Sortir progressivement

Pour agir et bien c’est très simple : s’exposer progressivement au risque pour vous habituer et cesser l’hyper-vigilance. Il s’agit de reprendre progressivement contact avec l’extérieur pour mettre en place de nouvelles habitudes qui vont développer votre sentiment d’habitudes et de sécurité sans augmenter votre hyper-vigilance. Plus on est expérimenté dans un domaine, plus on développe sa confiance, en soi, en les autres et en l’avenir aussi. Vous développez ainsi votre capacité à vous adapter et gagnez en agilité et en souplesse dans ce contexte.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligés de le faire seul. vous pouvez sortir en compagnie d’une autre personne. L’idéal est de le faire en étant accompagné d’une personne en qui vous avez confiance, à votre écoute et qui vous montrera la situation de manière positive avec de nouvelles habitudes de vie !

7. Consulter un professionnel de la relation d’aide

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Et puis, si ce syndrome de la cabane vous envahit tellement qu’il en devient trop limitant pour vous, consultez. Vous pouvez déjà appeler l’aide psychologique mis en place dans le cadre du contexte. Cliquez ici pour voir le lien. Contactez votre médecin traitant, il saura vous conseiller et vous rediriger vers un professionnel de santé.

Et bien sûr, si vous sentez que vous avez besoin d’une coach de vie pour vous aider à harmoniser pensées, émotions, comportements pour passer à l’action, cliquez ci-dessous.

J’ai également créé un appel téléphonique pour vous apporter écoute et conseil positif pendant une heure ensemble, en toute simplicité. Cliquez sur l’image dessous pour y accéder. Si le lien est désactivé, contactez-moi. Je reste à votre écoute via ma messagerie, n’hésitez pas : contactez-moi.

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Et puis, dès maintenant, vous disposez d’un outil précieux : votre corps. Je vous délivre quelques astuces pour lutter contre le stress et l’anxiété grâce à votre corps, dans cet article que j’ai rédigé.

Prenez soin de vous.


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Pourquoi râler de temps en temps fait du bien ?

Pourquoi râler de temps en temps fait du bien ?

Vous aussi, ça vous arrive de râler, de pester ou encore de ronchonner ? A l’heure où le développement personnel prône la positive attitude, sommes-nous tous condamnés à n’être que paix et amour ? Et bien non !

Le diktat de la « positive attitude » ?

Bien que le best-seller de Christine Lewicki « J’arrête de râler » prône une méthode en 21 jours pour arrêter de ronchonner systématiquement toute la journée. Je vous propose aujourd’hui de vous autoriser à pester !

Oui le faire toute la journée, tous les jours, tout le temps est un comportement néfaste pour soi comme pour l’entourage car cela envoie des ondes et des pensées négatives. Mais râler fait du bien quand il s’agit d’une soupape pour décompresser.

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Alors pourquoi râler fait du bien ?

1. Parce qu’on libère une émotion.

Toutes les émotions ont besoin d’être entendues. Ce sont des signaux qui nous alerte en délivrant un message face à une situation. S’autoriser à ronchonner de temps en temps nous permet d’accueillir une émotion de colère, de frustration, de mécontentement.

Toute émotion non-exprimée sera refoulée et sera coincée en nous. C’est ainsi que nous allons la ruminer intérieurement et l’imprimer dans notre tête, dans notre cœur mais aussi dans notre corps !

Sachant que tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime, il est souhaitable de favoriser l’expression au-delà de l’émotion, ou du retentissement. Cette pratique permettra d’éviter quelques somatisations, du stress et de l’angoisse.

– Jacques Salomé

Quand l’émotion demeure, notre le système nerveux sympathique continue de s’emballer (pression artérielle, rythme cardiaque élevé, tension musculaire). Cela créé un effet de « Cocotte Minute » très dommageable pour la santé. D’où l’intérêt de râler !

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2. Parce que cela permet de poser certaines limites saines

Râler nous permet d’exprimer un mécontentement en lien avec un besoin important pour nous qui n’est pas satisfait. La colère, quand on sait la diriger, est là pour manifester une injustice face à un manque de reconnaissance ou de respect par exemple. Ronchonner nous permet d’exprimer ainsi une opposition.

D’ailleurs, il paraît qu’on râle en moyenne, entre 15 et 30 fois par jour !

3. Parce que cela ouvre la voie à une réflexion construite au lieu d’une action impulsive

Formuler une râlerie à voix haute nous oblige à mettre des mots sur une situation et peut nous permettre de mieux comprendre notre situation pour y trouver une solution. Libérer l’énergie par la parole ouvre aussi la voie à la discussion avec les personnes présentes pour râler avec vous ou comprendre votre point de vue et négocier un compromis. Donc râlez à petite dose, ça libère un trop-plein et ça fait du bien.

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Comment « bien » râler ?

Il ne s’agit pas de faire souffrir votre entourage mais d’exprimer votre émotion d’une façon à vous sentir « libéré, délivrééééé », comme le dit si bien la chanson.

Râler, ronchonner !

Bah oui, blablater dans sa barbe, sa moustache ou sous le menton vous permettra de sortir ce qui doit l’être. Pensez à assumer vos propos, avec respect pour ne pas blesser. Et si c’est le cas, expliquez à l’autre que vous aviez un besoin non-satisfait qui avait besoin d’être exprimé. Excusez-vous si vous avez blessé une personne, si besoin. Ou encore, sortez crier un bon coup tout seul.

Écrire une lettre de colère pour bien râler autant que vous voudrez

S’il n’est pas toujours possible de râler à voix haute, on peut aussi écrire son mécontentement ou sa colère dans une lettre avec ou sans destinataire. Écrire obligera à structurer sa pensée et à la projeter sur le papier pour ne plus la conserver en soi. Vous pouvez ensuite la déchirer ou la brûler en conscience pour vous sentir encore plus libéré.

Gribouiller, dessiner, colorier ou déchirer pour s’exprimer

Prenez un papier et gribouillez de grands ou de petits dessins, avec ou sans force et véhémence, comme bon vous semble. D’autres aiment râler en coloriant des dessins prêts à l’emploi. Vous pouvez aussi écrire vos râleries ou les dessiner, puis déchirer le papier de toutes vos forces.

Frapper un oreiller pour décharger

Non, ne tapez pas sur votre voisin ou votre conjoint !! Par contre, ce trop-plein énergétique a besoin de sortir hors de votre corps. La solution ? Prenez un oreiller et tapez dedans, ou un punching-ball si vous avez.

Taper du pied pour extérioriser

Vous pouvez aussi taper des pieds, imaginez que vous écrasez du pied la situation ou la personne (on a dit en imagination bien sûr !). Allez couper du bois si vous êtes bucheron à l’occasion.

Faire une activité physique pour rééquilibrer

Et puis, faire une activité physique intense vous aidera à sortir cette énergie pour retrouver l’équilibre du système nerveux. Faire un jogging ou une marche rapide en soufflant bien fort vous apaisera.

Réévaluer la situation pour revenir au concret

Il s’agit d’apprendre à traiter l’émotion autrement, à la réguler, à la calmer grâce à la réévaluation cognitive.

Prenons un exemple. Une personne devant nous, nous a doublé dans la file d’attente aux caisses ou a lâché la porte qui s’est fermée sous notre nez alors que nous arrivions. On va râler ok. Mais, peut-être l’a-t-elle fait sans le vouloir, sans s’en rendre compte, sous le compte d’une inattention, d’une gêne physique, d’une émotion, ou parce qu’elle était au téléphone.

Il s’agit de se demander ce que ce geste peut vouloir dire d’autre que ce qu’on est en train de se dire qui fait que nous ressentons cette émotion.

Donc en conclusion : râler à petite dose est bon pour votre santé parce que ça vous permet de décompresser !

Et si vous avez besoin d’être coaché pour ne pas trop déborder et vous sentir plus libéré et apaisé :

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Pour réserver votre séance, cliquez sur l’image au-dessus.

Et si vous avez des questions, contactez-moi !


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Stress, anxiété : utiliser le corps pour s’apaiser

Stress, anxiété : utiliser le corps pour s’apaiser

Crise sanitaire, crise économique, crise sociale, la Covid-19 n’en finit pas d’agir sur notre quotidien. Et nous voici à nouveau en confinement au moment où j’écris ces lignes. Sans compter les attentas, la montée de la violence, les catastrophes naturelles. Le contexte peut être très anxiogène pour nombre d’entre nous. Mais comment restez zen en ces circonstances ? Et si utiliser notre corps pour apaiser notre esprit était la clef pour lutter contre le stress et l’anxiété ?

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Stress, anxiété ou encore angoisse : quelles différences ?

Les 3 notions sont liées à une peur.

Le stress 

Le stress est une réaction physiologique déclenchée par l’organisme pour mobiliser nos ressources et affronter ou fuir une situation perturbante. Qu’il s’agisse d’un réel danger ou d’une menace d’ordre physique ou psychologique. Le rythme cardiaque augmente, la fréquence respiratoire également, l’hormone du cortisol aussi. C’est un phénomène passager et fréquent, surtout dans nos sociétés modernes.

L’anxiété 

Elle est liée à l’anticipation d’une menace future qui entraîne un sentiment négatif, des tensions musculaires et du stress permanent (état de vigilance) face à une situation particulière. Elle se dissipe généralement rapidement. Elle se traduit, par exemple, par des troubles du sommeil, troubles digestifs, palpitations cardiaques, un sentiment d’inquiétude, de perte de contrôle, ou encore des pensées incontrôlables. Lorsqu’elle devient pathologique, on parle alors de trouble anxieux généralisé (TAG). Celui-ci se traduit par une anxiété permanente face à l’avenir, une peur systématique de l’imprévu.

L’angoisse

Les crises d’angoisses, ou attaques de panique, sont des manifestations de véritables malaises physiques et psychiques ponctuels et répétés, qui se manifeste par un sentiment de constriction ou d’oppression. Elles surviennent dans un environnement stressant ou anxiogène pour la personne qui a peur car elle anticipe alors un danger ou sa conséquence, très fortement (cas des phobies). Elle se traduit par une pression thoracique, une difficulté à respirer, une augmentation du rythme cardiaque, une sensation de boule dans la gorge ou dans l’estomac.

Le corps, meilleur outil pour apaiser stress et anxiété 

Revenir au corps permet de revenir à l’instant présent. Ça aide aussi à stimuler nos capacités à se focaliser sur les solutions plutôt que sur les problèmes.

Julie Lancel
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Je vous propose 3 techniques corporelles qui soulagent du stress et de l’anxiété, et apaisent ainsi l’esprit.

La respiration au carré contre les crises

On ouvre bien la cage thoracique, les épaules en arrière. On souffle tout l’air qu’on a dans les poumons. Dans cet exercice, on va imaginer que l’on trace un carré avec notre respiration.

On inspire en dessinant un carré en comptant jusqu’à 4. Puis on bloque sa respiration en traçant un autre trait en comptant jusqu’à 4. Puis on souffle en traçant le 3ème trait du carré en comptant jusqu’à 4. Enfin, on bloque sa respiration jusqu’à 4.

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Le fait de respirer de cette manière va vous recentrer sur votre corps. En le calmant, vous allez aussi calmer le mental qui est occupé à compter et/ou à tracer le carré.

La toilette énergétique pour apaiser

Cet exercice consiste à vous masser de la tête aux pieds pour apaiser votre stress et votre anxiété. Vous avez le choix : vous pouvez le faire de différente façons. Soit vous vous massez tranquillement, soit vous tapotez, soit vous frictionnez. A vous de voir ce dont vous avez besoin à ce moment-là. Vous pouvez imaginer que vous vous dépoussiériez de toutes vos pensées noires, ou que vous vous dé-farinez tout le corps et les vêtements du contexte, ou bien encore que vous enlevez toute la boue que vous avez sur vous.

Assis sur le bord d’une chaise, vous allez vous nettoyer virtuellement le corps en ayant les yeux fermés pour bien revenir à vous. Vous restez habillé pour cet exercice bien sûr. Mais enlevez vos chaussures pour vous occuper de vos pieds qui vous portent toute la journée !

Vous allez d’abord frotter tous les centimètres carrés de peau de vos mains en prenant le temps qu’il vous faut. Puis, vous vous « nettoyez » en partant du haut du crâne, l’arrière de la tête, la nuque, puis devant le front, les paupières, le nez, sous le nez, puis le menton, on n’oublie pas les oreilles, le cou, les épaules, les bras, le haut du corps et comme ça jusqu’aux orteils, sous les pieds, la voute plantaire. On fait bien l’avant du corps mais aussi les côtés, l’arrière en restant assis, le derrière des genoux, puis on se met debout et on fait les reins, les fesses, on termine en massant son hara, son centre, son ventre.

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L’activité physique : la marche, le sport

Enfin, profitez de votre heure de sortie autorisée pendant le confinement : allez marcher. A chaque pas, vous vous libérer d’une pensée.

Et bien évidemment, se dépenser par une activité physique plus intense comme le vélo ou la course à pieds permet de se libérer la tête et de produire les fameuses hormones du bien-être.

A consommer sans modération !

Pour aller plus loin : consultez!

Si vous vous sentez stressée et que vous préférer être guidé, réservez une séance avec moi. Je vous proposerai quelques exercices pour mieux réguler ces sensations et un programme personnalisé pour enrayer votre baisse de moral.

Bien sûr, si vous constatez un trouble pathologique, permanent, je vous invite à consulter votre médecin traitant qui saura aussi vous rediriger vers un professionnel de la psychothérapie. Je peux aussi vous proposer une séance ensemble pour apporter quelques clés puis vous transmettre les coordonnées de mes collègues.

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Un coaching ne remplace pas une psychothérapie mais la complète. Dans tous les cas, ne restez pas seul face à vos difficultés, consultez !


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