Catégorie : Mindset

La méditation pour une meilleure gestion du stress

La méditation pour une meilleure gestion du stress

Vous vous sentez surmenés par le quotidien ? Submergés par le stress journalier ? Vous n’arrivez plus à faire face à votre charge mentale ? Vos émotions vous envahissent, vous conduisant à l’épuisement ? Et si vous pratiquiez 5 minutes de méditation par jour pour diminuer votre stress ?

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Nous avons entre 60 000 et 90 000 pensées par jour. Si nous n’y prêtons pas attention, nous pouvons partir dans des ruminations mentales et des schémas de pensées néfastes pour notre bien-être. En effet, notre biais naturel de négativité nous conduit à échafauder les pires scénarios mentaux ou encore à ne voir que le côté négatif de nos journées. Résultat au bout d’un moment, on se sent épuisés. Et cela a une incidence sur notre niveau de bien-être face au stress du quotidien.

La méditation est l’un des meilleurs outils pour améliorer notre gestion du stress. De quoi on parle quand on parle de méditation exactement ? Comment et en quoi la méditation peut nous aider à mieux gérer notre stress ? Quels sont les véritables bienfaits de la méditation sur notre bonheur au quotidien ? Je vous propose de répondre à ces questions.

La méditation, c’est quoi ?

Attention : il est nécessaire de distinguer deux sens différents. Dans le sens « occidental », c’est le fait de penser, de réfléchir fortement à un sujet, alors que dans le sens « oriental » pour une pratique bien-être, c’est l’absence de réflexion au contraire. En effet, il s’agit ici de concentrer notre attention sur un seul point (instant présent, bougie, partie du corps, mantra) sans avoir de réflexion dessus. C’est revenir à l’instant présent sans se laisser embarquer par nos flots de pensées, émotions ou sensations.

Apprenez une technique de base en fin d’article. Et sinon, abonnez-vous à ma page Facebook :

Gestion du stress : les bienfaits de la méditation

Un certain nombre d’études démontrent que la pratique de la méditation entraîne une augmentation importante de l’activation de certaines aires du cortex frontal gauche (associée aux états affectifs positifs et à la régulation des émotions). Or, il est démontré que les personnes ayant une plus grande activité de cette zone, se remettent plus vite d’un évènement stressant.

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Réaction ou réponse au stress ?

Ce qui compte face au stress, c’est notre posture à l’égard de celui-ci : sommes-nous en réaction au stress ou en réponse ?

La réaction au stress est liée à un automatisme inconscient acquis suite à des expériences de notre passé. Une réaction au stress peut être : de fumer plus de cigarettes, de manger plus que de raison ou en-dehors des repas, de boire de l’alcool à outrance ou de consommer du cannabis.

Cela entraîne une sur-vigilance qui conduit au surmenage, à l’épuisement mental, nerveux puis physique. Cela peut d’ailleurs se traduire par des problèmes de santé : au niveau de la peau (eczéma), de l’hypertension, des tensions musculaires, des maux de dos, des problèmes gastro-intestinaux, etc….

La réponse au stress consiste quant à elle, à reconnaître la situation, les ressentis, les émotions plutôt qu’à les refouler. Cela permet de développer une ouverture d’esprit plus grande et de rechercher des solutions nouvelles pour mieux surmonter le stress.

Les bienfaits de la méditation sur le corps et l’esprit

Ainsi méditer quelques minutes par jour présente de nombreux bienfaits :

  • Réduit le stress et l’anxiété
  • Diminue la douleur et améliore le système immunitaire
  • Améliore la concentration et la mémoire
  • Permet de mieux dormir
  • Augmente l’énergie
  • Aide à mieux diriger ses pensées vers le positif
  • Régule les émotions car permet une forme de détachement émotionnel : on est dans l’accueil de toute situation
  • Procure un sentiment de paix, de calme et d’apaisement…!

Comment méditer pour gérer son stress

Il existe de nombreuses pratiques méditatives. La plus connue est la suivante :

Asseyez-vous simplement sur une chaise (il n’est pas nécessaire de se mettre par terre dans des positions inconfortables, , style posture du lotus ou semi-lotus, si c’est intenable pour vous), le dos décollé de la chaise, droit sans être ni tendu ni avachi, les mains posées sur les cuisses, les deux pieds à plat au sol. Fermez les yeux et portez votre attention sur votre respiration : l’air qui entre par les narines et qui sort par la bouche. Mettez-vous en position d’observateur sans jugement ni réflexion. Laissez simplement passer vos pensées comme des nuages, sans les nourrir, sans alimenter le processus de réflexion. Quand vous vous rendez compte que vous êtes à nouveau en train de penser, revenez tout simplement à votre respiration.

Avec 5 minutes de pratique tous les jours, vous ferez un entraînement mental. Alors, vous verrez que le temps entre chaque pensée s’espacera. Ainsi, vous allongerez votre temps de méditation progressivement et naturellement, jour après jour.

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Le coaching pour gérer son stress

Il est parfois nécessaire de faire le point sur son état, ses besoins en étant guidé pour mieux gérer son stress. Vous faire seconder par une coach qui pratique la méditation et accompagne les personnes sensibles, vous donnera plusieurs clés pour vous sentir plus serein au quotidien.

Je m’appelle Julie et je suis coach de vie. Depuis de nombreuses années, je pratique moi-même la méditation et en connais tous les merveilleux bienfaits. J’utilise aussi d’autres outils qui s’adaptent aux situations de chacun. Les séances peuvent se faire par téléphone ou visioconférence. Si vous avez besoin d’aide pour gérer votre stress quotidien, prenez contact avec moi.

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Bonne pratique, prenez soin de vous. A tout bientôt !


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Comment lutter contre la déprime du Blue Monday ?

Comment lutter contre la déprime du Blue Monday ?

Manque de luminosité, froid, tensions financières et déprime d’après-fêtes, kilos en trop, fatigue, rhume et sans parler du COVID-19 et des restrictions de sorties ? On y est : c’est la déprime du fameux Blue Monday ! Le 3ème lundi du mois de janvier a été nommé le « Blue Monday » car il semble être le jour où on se sent le plus déprimé de l’année. Alors si vous aussi, vous avez le blues, le cafard, le moral dans les chaussettes, cet article est fait pour vous !

Et si on boostait nos hormones du bonheur pour lutter contre la déprime saisonnière ? Allez, répétez après moi : « Non, cette année le Blue Monday ne passera pas par moi ! Poil aux doigts ! »… Et là, vous vous dîtes « Non mais n’importe quoi Julie » !! Et bien, moi je vous réponds « si si » car voici l’une des clés pour booster sa joie de vivre : l’humour !!! On va y revenir. Mais avant, un rappel de l’essentiel pour lutter contre la déprime du Blue Monday : augmentez vos hormones du bonheur !

Stop à la déprime du Blue Monday : stimulez vos hormones du bonheur !

Petit rappel sur les hormones anti-déprime du bonheur

On peut les produire par une hygiène de vie basique. Mais pour rappel, voici à quoi elles correspondent :

  • Dopamine : hormone de la satisfaction
  • Endorphine : hormone du bonheur
  • Epinéphrine : hormone de l’action
  • Mélatonine : hormone du sommeil
  • Ocytocine : hormone de l’amour
  • Sérotonine : hormone du bien-être

Anti Blue Monday : comment stimuler les hormones anti-déprime ?

L’hygiène de vie au quotidien va stimuler la production de ces merveilleuses hormones si bonnes pour votre santé, votre moral et votre immunité. Pour ça, un rappel de la « base des bases » en développement personnel :

  1. Avoir une alimentation équilibrée et la complémenter si besoin (voir votre médecin ou pharmacien).
  2. Dormir d’un sommeil suffisant et de qualité.
  3. Sortir prendre l’air au moment où il y a le plus de lumière (supplémenter en vitamine D suivant les indications de votre médecin ou pharmacien).
  4. Pratiquer une activité physique même modérée
  5. Méditer
  6. Avoir des interactions sociales avec vos amis, famille, collègues, voisins en direct, par téléphone ou même par visio.
  7. Rire, jouer, s’amuser, chanter, danser… Nous allons y revenir.

Maintenant que nous avons rappelé les bases, voyons ensemble la technique. Pour lutter contre la déprime du Blue Monday : reconnectez-vous à votre joie de vivre, votre joie intérieure ! Voici comment le faire en 3 étapes.

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3 étapes pour lutter contre la déprime du Blue Monday

1)  D’abord, pour suivre les prochaines étapes, suivez ce conseil.

Soyez prêts à faire quelque chose que vous n’avez encore jamais fait !

Vous aurez ainsi ce sentiment d’accomplissement et de satisfaction que procure l’expérience de sortir de ses habitudes. Et ça revigore ! Prêts ? on y va.

2) Libérez les tensions du corps par un auto-massage

Je vous l’ai déjà fait expérimenter dans un autre article avec la toilette énergétique que vous pouvez reproduire. Sinon, vous pouvez tout simplement vous masser les mains pendant 5 bonnes minutes en fermant les yeux pour être tout focus sur les sensations. Ça peut aussi être la tête ou la nuque ou encore les pieds qui nous portent toute la journée, même en restant habillés !

Maintenant que vous êtes plus détendus, on va stimuler votre bonne humeur et vos hormones du bonheur.

3) Redevenez un enfant pour lutter contre la déprime du Blue Monday et augmenter votre joie de vivre !

Et oui, c’est tout simple : redevenez un enfant ! Comportez-vous comme tel, autorisez-vous à retrouver l’innocence de l’enfance. Et si on redevenait tous des enfants pour un instant ? Booster votre joie de vivre en mettant du jeu dans votre vie. Voici comment :

  • Coloriez, dessinez, gribouillez
  • Courrez après un ballon, sautez à la corde ou à l’élastique, grimpez aux arbres, jouez à 1 2 3 soleil ou à saute-moutons avec monsieur ou madame ou les enfants !
  • Faites des grimaces ; relisez les blagues de Toto ou les blagues Carambar…!
  • Repensez à ce que vous aimiez quand vous étiez enfant : quels biscuits, quelles histoires, quels livres, quelles musiques, quels pantalons à carreaux ou robes à fleurs, quels jeux de sociétés (petits chevaux, nain jaune, jeu de l’oie, Monopoly…) et ressortez ces activités pour les pratiquer un peu dans votre vie.
  • Faites-vous un repas régressif : mangez au dîner des bonbons et autres sucreries. Ou bien mangez en commençant d’abord par le dessert puis le plat etc… Et oui, pourquoi pas ?! Pas tous les soirs, bien sûr !!! Mais juste une fois pour le grain de folie de la Vie !
  • Écoutez de la musique anti-déprime, c’est-à-dire des chansons qui vous mettent de bonne humeur et danser dessus comme un petit fou ou une petite folle !
  • Pratiquez le yoga du rire, ça déride ! Il s’agit notamment de rire de manière non-naturelle au départ, de vous forcer à rire avec vos enfants, votre conjoint : vous allez voir qu’au fur et à mesure, c’est contagieux ! Fou rire général garanti !

Nos émotions jouent un rôle important sur notre bien-être. Lorsque nous sommes dans la joie, notre cerveau sécrète de la dopamine, de la sérotonine et ainsi renforce notre système immunitaire. Et rappelez-vous que ce sont vos choix, ceux que vous faites au quotidien, qui conditionnent votre niveau de bonheur, de bien-être.

Exercice de développement personnel pour aller plus loin : « Comment reconnecter la joie à l’intérieur de soi ? »

Comme on l’a vu ci-dessus, l’idée est de raviver notre joie intérieure en recontactant l’enfant en nous. Comment renouer avec notre joie d’enfant ? Je vous ai proposé certaines activités mais si vous souhaitez aller plus loin, voici un exercice introspectif à faire avant de passer à l’action. Posez-vous ces questions et notez vos réponses sur une feuille pour avoir une pensée structurée, projetée sur le papier et ainsi un visuel clair.

  • Quelles étaient vos activités favorites quand vous étiez enfant? Quelles étaient vos passions ?
  • Comment vous sentiez-vous au quotidien ? Quelles émotions et ressentis viennent à vous lorsque vous repensez à ces souvenirs d’enfance ?
  • Aujourd’hui, avez-vous conservé certaines de ces passions/activités qui vous donnaient le sourire ?
  • Si non, qu’est-ce qui fait que vous les avez arrêtées ? Et dans ce cas, avez-vous de nouvelles passions ?
  • Qu’est-ce qui vous fait vibrer à l’heure actuelle ? Qu’est-ce qui vous motive ?
  • Que ressentez-vous et que vous dicte votre cœur après ces quelques réflexions ?

Que ce soit le dessin, le chant, la danse, le foot, le basket, la gym, la lecture, la peinture, la couture, la collection de timbres ou de cartes postales, le piano ou la guitare, les balades en nature, les blagues, les parties de rigolade ou de retrouvailles en famille…. Peu importe finalement. Identifiez ce qui vous faisait plaisir enfant. Puis posez-vous cette question :

  • Avez-vous la sensation d’avoir oublié ou mis de côté cette part de vous ?
  • Comment pouvez-vous renouer avec votre mini-vous, votre partie « enfant » ?

Saisissez l’opportunité du temps libre que vous avez pour reconnecter à la joie de votre enfance, en ressentir tous les plaisirs. C’est le moment pour partager cette joie avec votre famille, ne serait-ce que par téléphone si vous ne pouvez pas les voir. Rallumez la flamme de votre joie intérieure et partagez-là autour de vous ! Parce que c’est bon pour le moral de tous !!

Et si malgré toutes ces astuces, vous avez de la difficulté : ne restez pas seul(e)s. Faîtes-vous accompagner par un professionnel. Le coaching est une bonne solution pour vous donner des clés personnalisées et adaptées à vos besoins.

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Bonnes résolutions : comment s’y tenir ?

Bonnes résolutions : comment s’y tenir ?

Avez-vous pris de bonnes résolutions au 1er janvier de cette année ?  Mais vous avez peur, comme tous les ans, de les abandonnez dès la fin du mois ? Avez-vous de la difficulté à tenir vos bonnes résolutions quelles qu’elles soient, perdre 10 kg, arrêter de fumer, ou encore faire du sport ? Vous savez : vous prenez l’abonnement mensuel à la salle de gym au 2 janvier et déjà au 30, vous préférez rester au chaud sous la couette ou le plaid ! Bah oui, tous les ans, c’est la même ritournelle !!

Rassurez-vous, vous êtes comme 80% des personnes qui prennent de bonnes résolutions en début d’année et qui ne s’y tiennent jamais. Chaque nouvelle année est l’occasion de formuler des vœux : c’est la période des bonnes résolutions. Ces résolutions ne sont pas toujours faciles à tenir. Et il est vrai que la majorité de celles-ci sont abandonnées dans les mois, voire les semaines qui suivent. Alors, comment prendre de bonnes résolutions de nouvel an et surtout s’y tenir ?

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Voici quelques astuces pour vous aider.

1. Ne prenez pas de bonnes résolutions !

Et oui ! La première méthode pour tenir ses bonnes résolutions, c’est tout simplement de ne pas en prendre ! En effet, une résolution, c’est le fait de « se résoudre à ». Cela peut être presque synonyme de « se résigner à ». Ce qui donne alors une dynamique plutôt péjorative d’obligation d’accepter. Et inconsciemment, vous ne serez déjà pas motivé à vous soumettre à une contrainte. Donc l’astuce, si vous souhaitez réaliser vos projets, c’est de laisser tomber « les résolutions à tenir » et plutôt de vous « fixer des objectifs ».

2. Formulez vos bonnes résolutions de manière positive

Pour se fixer de bonnes résolutions, c’est-à-dire des objectifs que vous allez atteindre, des études montrent qu’il existe une façon efficace de les formuler pour qu’elles se concrétisent. Il s’agit de formuler vos bonnes résolutions, vos objectifs, de manière positive.

Cela signifie deux choses : la première est de ne pas formuler de négation et la seconde, de les formuler dans une direction. C’est-à-dire en voulant aller vers quelque chose que vous souhaitez et non pour éviter ou arrêter quelque chose.

Par exemple, au lieu d’arrêter de fumer, formulez ce que vous voulez à la place : une bonne santé respiratoire, sentir une meilleure odeur sur vos vêtements, vos cheveux…, avoir plus d’argent, etc….

La plus grande étude mondiale réalisée sur les résolutions du Nouvel An conclut que la formulation du type « je vais commencer à.., je vais faire ceci ou avoir cela », est bien plus efficace que celle du type « je vais arrêter ceci, je vais éviter cela ».

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3. Fixez-vous une bonne résolution qui vous est personnelle

Votre objectif annuel doit donc être formulé de manière positive mais aussi pour vous uniquement. Si cela implique d’autres personnes, demandez-vous quelle partie de ce que vous souhaitez obtenir, dépend uniquement de vous. Celle qui est sous votre responsabilité. C’est cette partie qui sera VOTRE bonne résolution.

4. Ayez un objectif bien défini

Vous pouvez le définir selon la méthode SMART : de manière spécifique, mesurable, atteignable, réalisable et temporellement défini (dans votre calendrier, dans un délai donné). Mettez des indications chiffrées, des ordres de mesure qui vous permettront de constater quand vous aurez atteint votre objectif.

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Pour tenir ses bonnes résolutions, il faut donc définir un objectif. Par exemple un objectif de santé (silhouette, alimentation, sport) sera bien déterminé s’il est formulé comme suit.

a) Formulez vos bonnes résolutions de façon positive vers ce que vous voulez

C’est-à-dire en sachant ce qu’on veut plutôt que ce qu’on ne veut pas avec une représentation mentale de son désir.

Psttt : si je vous dis « ne pensez pas à un éléphant rose », vous avez d’abord imaginé l’éléphant rose avant de le faire disparaître.

Conclusion : formulez ce que vous voulez et non ce que vous ne voulez pas car sinon le message est contradictoire pour votre cerveau. Et donc risque d’échec+++.

b) À partir d’une référence interne 

Ça signifie en partant de vous, votre mouvement intérieur, avec une autonomie et une motivation intrinsèque. Ça veut dire quoi ? Et bien que vous le faîte pour vous et pour répondre à votre besoin, vos valeurs.

c) Avec des moyens 

C’est-à-dire un sentiment de compétences, de qualités personnelles.

d) Et une connexion aux autres 

Il s’agit des sources de liens, des soutiens et des ressources. Réfléchissez comment votre objectif contribue à l’image du monde idéal dans lequel et avec lequel vous voulez vivre. Cela vous stimulera et vous apportera beaucoup de satisfaction.

Si vous voulez prendre une résolution de nouvel an qui vous rende vraiment heureux, pensez aux façons dont vous pouvez contribuer au monde.

C’est-à-dire à ce qui rend les individus heureux. Ainsi vous pourrez satisfaire vos 3 besoins psychologiques fondamentaux et atteindre votre objectif. Ces 3 besoins sont :

  1. L’autonomie : le besoin de se sentir à l’origine ou à la source de nos actions. C’est ce qu’on appelle être en « référence interne » en PNL (programmation neurolinguistique). C’est la source de motivation.
  2. La compétence : le besoin de se sentir efficace et capable d’effectuer des tâches de différents niveaux de difficulté. Cela correspond aux moyens à votre disposition et à exploiter.
  3. La relation ou l’appartenance sociale : le besoin de se sentir connecté et supporté par d’autres personnes. C’est la notion d’écologie en PNL, c’est-à-dire la prise en compte des conséquences des objectifs chez les autres.
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« Les recherches montrent que ce n’est pas seulement bon pour le monde, mais aussi vraiment bon pour vous ».

Conclusion quant à la définition de vos bonnes résolutions :

C’est la partie la plus délicate. L’aide d’un coach de vie professionnel est précieuse à cette étape mais aussi tout au long du processus. En effet, il vous soutiendra, vous permettra d’aller chercher votre motivation et de mettre à jour vos ressources pendant leurs réalisations.

5. Une à 3 résolutions au lieu de 10

Plutôt que de vous fixer plusieurs objectifs, il vaut mieux en n’avoir qu’un seul, sur lequel vous aller être tout focus : où vous mettez tout votre temps, votre énergie, vos moyens etc. Si vous avez plusieurs objectifs, notamment au-delà de 3, vous risquez de vous dispersés. Et vous ne réaliserez aucun de vos vœux de nouvelle année !

6. Découpez votre résolution en sous-objectifs

Si votre objectif est trop important, trop gros, il devient une montagne insurmontable. Vous ne savez pas par quel bout le prendre. A ce moment, vous risquez de ne pas l’atteindre. C’est pourquoi il est alors conseillé de le découper. Divisez votre grande résolution en plusieurs sous-objectifs.

C’est la philosophie Kaizen, celle des petits pas et de l’amélioration continue. Vous saurez quelle marche vous avez à gravir pour atteindre le sommet. Et vous développerez un sentiment de satisfaction à chacun des sous-objectifs atteints. Cela vous dynamisera et vous motivera sur le chemin.

7. Visualisez votre objectif atteint

Posez-vous tranquillement et prenez le temps de vous projeter dans le futur et de vivre intensément votre bonne résolution comme si vous y étiez déjà. Mettez tous vos sens en éveil pour faire comme si c’était déjà là et que vous étiez en train de le vivre complètement immergé dans le scénario. Images, lumière, couleurs, bruits, voix, musique, nature, sons environnants, odeurs, texture, goûts et saveurs, vous y êtes. Nommez l’émotion agréable que cela vous procure. Et identifiez votre dialogue intérieur, ce que vous vous dîtes.

Puis revenez à vous dans l’instant présent et prenez le temps d’écrire tout ce que vous avez vécu.

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8. Déterminez les étapes pour tenir vos bonnes résolutions

Observez ce que vous avez dû faire pour arriver à cet objectif atteint. Plutôt que de partir de là où vous êtes maintenant pour aller vers l’objectif, partez de l’objectif atteint. Repartez en visualisation, en imagination dans le scénario de la bonne résolution réussie et demandez-vous ce que vous avez fait juste avant, et encore juste avant etc… Jusqu’à revenir à l’instant présent. Vous aurez les les grandes étapes à placer dans votre agenda.

Détailler la manière dont vous allez mettre en œuvre vos résolutions est primordial. En effet, cela vous pousse à vous projeter, à entraîner votre cerveau à imaginer. Et c’est la visualisation qui va vous aider à entrer en action et à garder le cap !

9. Réalisez un tableau de bord et un tableau de vision

Enfin, gardez votre document avec toutes les étapes en vue pour y revenir au cours de l’année si nécessaire. Vous pouvez par exemple, le coller dans votre agenda sur une page de notes, afin de l’avoir toujours avec vous.

Pour symboliser votre objectif, vous pouvez aussi réaliser un tableau à partir de dessins, de peintures, de coloriage, de découpage d’images de magazines ou de mots clés. Assemblés sur un A3 par exemple, exposez votre tableau dans un lieu où vous pourrez poser votre attention plusieurs minutes par jour. Vous vous inspirerez et vous motiverez ainsi plus facilement chaque journée.

10. Communiquez vos bonnes résolutions à votre entourage

Transmettre vos bonnes résolutions à vos proches crée un engagement pour vous à les tenir. De plus, votre famille, vos collègues, vos amis, vos voisins, etc… peuvent être de précieuses ressources de soutien et d’encouragement dans les moments plus délicats.

Et puis, pour vous aider à tenir vos bonnes résolutions de nouvel an, faîtes-vous accompagner par une coach professionnelle. Si vous n’avez jamais essayé, c’est l’occasion. Prenez votre première bonne résolution : vous faire coacher !

A votre écoute, si vous avez des questions, je vous souhaite de jolies résolutions et surtout leurs réalisations !

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Future maman : quel inconscient familial je transmets ?

Future maman : quel inconscient familial je transmets ?

Vous vous préparez à devenir maman ? Ou vous êtes déjà une jeune maman et vous voulez le mieux pour votre enfant ? A moins que vous n’ayez tout simplement un projet de grossesse ? Et si le fait de devenir mère se préparait aussi au niveau psycho-énergétique, trans-générationnel ? Comment accueillir au mieux son enfant au creux de son ventre, de son foyer, de sa vie, mais aussi de son esprit et de celle de la famille ? Quel est l’inconscient familial que je transmets en tant que maman ?

Ces questions se posent aussi pour le papa. Et d’ailleurs, je vous invite à transposer tout ce raisonnement au rôle du papa. Seulement, j’ai pris ici le parti de m’adresser à ma clientèle féminine pour répondre à la question :

Qu’est-ce que je transmets inconsciemment à mon enfant quand je deviens maman ?

Pour y répondre, nous allons aborder la question sous l’angle de la psycho-généalogie et de l’épigénétique. Et nous verrons quelques exercices pratiques.

Inconscient familial : une autre préparation à l’accouchement pour être maman

Peut-être que vous vous étonnez de cette vision de la préparation de jeune maman. Et pourtant, nombre d’accouchements soulèvent de grandes prises de conscience : sur le sens de la vie mais aussi de la mort, sur notre propre existence comme sur celle de nos propres parents.

Sans lien avec le phénomène de dépression post-partum dû à la chute d’hormones brusques après l’accouchement, il existe aussi des cas de dépression suite à des souvenirs de traumatismes qui remontent à la mémoire à ce moment-là.

Oui, devenir maman est un vrai bouleversement et un merveilleux cadeau : celui de la VIE ! Celle avec un grand V dans tous ses aspects.

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Et si souvent, on réfléchit à comment être dans les meilleures conditions physiques, matérielles, émotionnelles et mentales pour accueillir son bébé, il est tout aussi intéressant de s’interroger sur l’héritage de l’inconscient familial qu’on lui transmet.

Car que vous le vouliez ou non, de générations en générations, il existe des comportements, des croyances, des transmissions verbales ou des non-dits, plus ou moins pesants, qui agissent sur votre vie par un phénomène de répétition inconscient.

Devenir maman : transmettre l’inconscient familial en héritage

Devenir maman peut être l’occasion de s’interroger sur le contenu de notre héritage familial pour mettre en lumière notre propre histoire mais aussi celle moins connue de nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, et peut-être de mettre à jour certains schémas répétitifs. L’idée est d’accueillir notre enfant dans les meilleures conditions sur un autre plan.

Bien se connaître est important tout comme bien connaître notre bagage familial. De génération en génération, se transmettent des schémas, des mémoires dont parfois on en a même perdu l’origine.

L’humour de Six in the city

C’est ainsi que de nombreuses humoristes ou illustratrices actuelles tournent en dérision leur propre statut de maman qui finalement, reproduisent les mêmes phrases ou les mêmes comportements que leurs propres mères, desquelles elles se moquaient tant quand elles étaient plus jeunes.

En-dehors de la compréhension de ce qu’implique désormais le rôle de mère, si cela peut être drôle, il arrive que parfois cela tourne à l’absurde. Connaissez-vous l’histoire du rôti ?

Héritage de l’inconscient familial de la maman : l’histoire du rôti

J’adore cette histoire, tellement elle parlante. Alors voilà. C’est l’histoire d’une femme qui, il y a 2 générations, prépare son rôti dans sa cuisine : elle l’assaisonne, le badigeonne puis coupe les deux extrémités, le met au four avant de le servir à table. Sa fille reproduit les mêmes gestes jusqu’à ce que sa propre fille, devenue adulte, le prépare ainsi.

Le mari de cette dernière lui demanda alors : « mais pourquoi prépares-tu ton rôti ainsi, en lui coupant les 2 extrémités ? ». Celle-ci répondit que c’était parce que sa mère le faisait ainsi. « C’est étrange, personne ne fait ça. Pourquoi le préparer ainsi ? » lui demanda son mari.

Le dimanche suivant, elle décida de poser la question à sa mère qui lui répondit : « parce que ma mère a toujours fait ainsi ». Le lendemain, elle appela alors sa grand-mère et le lui demanda. Celle-ci lui répondit : « bah, pour qu’il rentre dans le plat à mettre au four, pardi ! »

Morale de l’histoire du rôti :

Tout le monde coupait les 2 extrémités du rôti alors que les plats au four, depuis, s’étaient bien agrandis ! C’est un geste hérité de mère en fille qui avait perdu son origine et tout son sens. Un automatisme inconscient. Et il y en a beaucoup dans chaque famille, croyez-moi !

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Là, c’est une histoire drôle mais imaginez maintenant l’histoire d’une petite fille ayant subi des attouchements dans sa famille à une époque loin du #metoo. L’histoire est cachée, non-dite, refoulée. Elle va produire chez la femme, des réactions, comportements voire des symptômes physiques ou maladies psychosomatiques qui vont être transmis à sa fille qui elle-même va les transmettre à sa propre fille. La petite-fille se retrouvera donc avec des réactions émotionnelles, des habitudes comportementales, des modes de pensées ou croyances voire des problèmes de santé en lien avec cette mémoire, mais dont elle n’aura aucune conscience de l’origine.

C’est ce que traitent certaines approches thérapeutiques spécifiques et la science étudie de plus en plus.

Quels sont les outils pour mettre en lumière cet inconscient familial de parent ?

Connaître notre histoire avec la psycho-généalogie

La psycho-généalogie :

C’est une approche thérapeutique qui consiste à rechercher dans la vie de nos ancêtres, les sources de nos éventuels problématiques émotionnelles, relationnelles, psychologiques mais aussi de certaines maladies ou de la répétition de nos comportements dans certaines situations. Accompagnée d’un thérapeute spécialisé, il s’agit de remonter le fil de notre lignée pour découvrir les histoires de vie qui nous ont précédées et de faire les liens avec notre propre histoire. En effet, notre vie commence dans l’arbre généalogique… C’est la spécificité du désir des parents et de l’ensemble de la lignée, qui précède chaque naissance. C’est l’histoire familiale dans son ensemble, c’est-à-dire les expériences des branches maternelles et paternelles qui donnent forme au présent de l’enfant. Elles vont influencer son devenir.

Pourquoi cet outil ?

Il est essentiel de s’intéresser à la genèse de notre conception car les enjeux de notre conception sont susceptibles de réapparaître lorsque l’on devient soi-même parent. Cela explique d’ailleurs l’apparition de nombreuses maladies au moment de l’annonce d’une grossesse, de l’accouchement ou de la déclaration civile de l’enfant. Cela peut aussi apparaître lorsqu’on atteint l’âge du géniteur, particulièrement le parent du même sexe que nous, au moment où celui-ci nous a conçu.

L’idée est de découvrir des schémas de répétitions dans notre arbre généalogique ou des « trous », et pas seulement chez nos parents et grands-parents. Aussi chez les oncles, tantes, cousins, cousines… Les répétitions peuvent porter sur les dates : de naissance, de mort, de mariage, d’évènements important. Mais aussi sur les prénoms, les métiers, le rapport à l’argent ou les maladies… La prise de conscience et la parole serait alors de puissants vecteurs de guérison.

Connaître l’influence de nos traumas sur nos gênes avec l’épigénétique

L’épigénétique

C’est l’influence de l’environnement sur nos gênes au point de pouvoir légèrement les modifier. Parmi les évènements particulièrement mis en avant, on parle beaucoup des situations de stress traumatique. Celles-ci pourraient transformer nos génomes jusqu’à 3 générations après un traumatisme vécu par l’un de nos ancêtres. Cela pourra expliquer certaines problématiques de santé comme certains mécanismes de fonctionnement.

Exemple de la Seconde Guerre Mondiale

Les études ont surtout été faites sur les personnes ayant vécu le traumatisme de la Seconde Guerre Mondiale. C’est ainsi qu’est montré un exemple. Celui d’une femme juive vivant la famine de l’holocauste et ayant donné naissance à des enfants très petits qui eux-mêmes ont donnés naissance à d’autres enfants très petits alors que les conditions avaient changés. Le stress s’enregistrerait au niveau des mémoires cellulaires en modifiant un bout de nos gênes.

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Comment mettre en lumière votre inconscient familial de maman ?

Être maman, c’est prendre conscience de qui on est, de quelle place on a dans notre arbre généalogique et de quel héritage on transmet à son enfant. Alors comment faire ?

1. Tenir un journal pour votre enfant

Écrire dans un carnet dédié pour transmettre à votre enfant, son histoire à lui, comment s’est passé votre grossesse, quel évènement important, émotions fortes avez-vous eus, que ce soit en lien ou non avec la grossesse. On sait que l’enfant absorbe tout même intra-utérin. Notez pour lui permettre de savoir avec authenticité son histoire.

2. Vous connaître vous 

Par exemple, demandez-vous quel enfant étiez-vous ? Qu’aimiez-vous faire étant enfant ? Écrivez vos rêves d’enfant, vos activités favorites.

Et puis reprenez contact avec l’une de ces activités plaisir de votre enfance. C’est bon pour le moral en plus.

3. Connaître les schémas hérités de vos parents 

Prenez une feuille et notez comment vous décriviez votre mère lorsque vous étiez enfant, vers 8-10 ans. Comment la trouviez-vous au niveau de son comportement avec vous ? Comment était-elle avec votre père ou son partenaire ? Avec les autres ? Comment montrait-elle son affection avec vous ? Votre père ? Les autres ? Quel rapport avait-elle avec l’argent, le travail, la santé ? Avec vous, avec votre père, avec les autres ?

Maintenant, observez ce que vous avez noté et prenez conscience du schéma que vous reproduisez. Comment vous comportez-vous, vous ? La conscientisation est le premier pas vers la guérison.

4. Connaître l’histoire de vos parents, grands-parents, arrière-grands-parents 

Bientôt les fêtes, c’est l’occasion de retrouver la famille ou de les appeler pour souhaiter la bonne année. C’est idéal pour discuter des histoires de famille : comment était leur enfance, leur adolescence, leur vie d’adulte, quelles sont les anecdotes familiales ? Aussi celles vous concernant. Notez-le dans ce carnet dédié.

5. Faire votre arbre généalogique 

Retrouvez les actes de naissance, de mariage, de décès, connaître le métier, les réussites et les épreuves des membres de la famille, les anecdotes, les histoires cachées, mettre à jour les non-dits…

Vous aurez ainsi un visuel de votre arbre auquel vous ajouté un descendant. Pour le faire, vous pouvez prendre plusieurs feuilles et en les scotchant entre elles.

Remarquez la structure de votre arbre généalogique : a-t-il des trous, de nombreuses branches ou pas du tout, d’un côté, de l’autre ?

Observez vos sensations corporelles, vos ressentis, vos émotions à la vision ou l’évocation de certaines parties de vos ancêtres.

Notez s’il y a des répétitions de dates. Remontez les générations pour identifier la génération où l’évènement déclencheur a eu lieu. Là se trouve peut-être un trauma à révéler pour guérir certains comportements répétitifs, réactions instinctives, etc….

6. Pour aller plus loin, renseignez-vous 

Utilisez les archives départementales sur internet pour faire vos recherches et retrouver vos actes de famille.

Lisez les livres spécialisés d’Anne Ancelin Schützenberger qui a rendue la psychogénéalogie  plus accessible au grand public dans son livre « Aïe, mes aïeux ». Mais aussi de Elisabeth Horowitz « Se libérer du destin familial » ou « Comment déprogrammer son destin par la psychogénéalogie » d’elle et de Pascale Reynaud. Ou encore, de Bruno Clavier « Les fantômes familiaux, psychanalyse transgénérationnelle ». Des lectures passionnantes.

Faites-vous accompagner par un thérapeute spécialisé en psycho-généalogie pour vous aider à réaliser votre arbre sous la forme d’un génosociogramme et vous aider à libérer des souffrances que vous pourriez identifier.

En conclusion…

Relax : nous transmettons tous des schémas inconscients. Et puis, chacune fait du mieux qu’elle peut, avec les ressources dont elle dispose au moment où elle vit les choses. Vous, votre maman, votre grand-mère mais aussi votre partenaire, votre père, grand-père, etc… Donc on sort de la culpabilité, mais aussi de la victimisation.

On agit : d’abord pour soi et ensuite pour nos enfants mais aussi les générations précédentes et suivantes. On dit qu’on guérit ainsi sur 7 générations lorsqu’on fait cette introspection.

Dans tous les cas, c’est un travail extrêmement thérapeutique pour accueillir votre enfant en pleine de conscience. Avec amour et authenticité. En pleine présence de qui vous êtes, d’où vous venez tous les deux et de quelle place il va prendre dans l’arbre généalogique. Rappelez-vous aussi : les enfants sont nos miroirs et sont souvent nos révélateurs.

Le plus cadeau qu’une maman puisse faire à son enfant : être bien physiquement, émotionnellement, mentalement, spirituellement. Pleinement là présente et pleine d’amour inconditionnel, sans jeu d’ombre.

Et si vous avez besoin d’aide pour y voir plus clair :

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Je vous souhaite une très belle grossesse et un beau cheminement de maman, celui de toute une Vie. Vive la Vie !


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Syndrome de la cabane ou de l’escargot, késako ?

Syndrome de la cabane ou de l’escargot, késako ?

Envie de rester à la maison, de ne pas mettre le pied dehors malgré le dé-confinement ? Peut-être souffrez-vous du syndrome de la cabane ? Alors qu’en cette mi-novembre 2020, beaucoup d’entre nous attendent le dé-confinement total avec impatience, d’autres le redoutent et vivent ce moment comme une angoisse.

L’apparition du syndrome de la cabane suite au confinement

Ce syndrome de la cabane est un phénomène qui s’est amplifié à l’annonce du 1er dé-confinement en mai dernier. Après avoir été totalement confinés pendant plusieurs semaines, certains d’entre nous n’ont plus du tout envie de sortir de chez eux comme ils le faisaient avant. D’ailleurs, ces personnes ont apprécié le retour au confinement, d’autant plus dans un climat morose et anxiogène : crise sanitaire mais aussi attentats, le tout en pleine saison automnale… Dur, dur pour le moral !

Pourquoi on parle de « syndrome de la cabane » ?

Et bien, c’est un peu comme lorsque, enfants, nous jouions au loup et que nous courrions nous réfugiez dans notre cabane pour nous protéger. En sortir est difficile car cela veut dire prendre un risque. Exactement comme nos ancêtres préhistoriques !

Or, le contexte actuel réunit tous les facteurs de risque, à commencer par la peur de mourir qui est la peur primaire et la base de tout trauma.

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Avec le confinement, nous avons construit une bulle protectrice, notre foyer, notre cocon avec nos habitudes de vie qu’on a mises en place pendant des semaines. Cette cabane ou grotte est devenue, pour certains d’entre nous, le seul lieu où nous nous sentons en sécurité car protégés de la réalité parfois violente, dure, agressive. C’est comme un rejet du monde extérieur.

Syndrome de la cabane et stress post-traumatique

On peut alors parler de trouble de stress post-traumatique qui est souvent sous-diagnostiqué en France. On retrouve ce phénomène dans l’ensemble de la population, particulièrement chez les malades de la COVID, et ceux passés par la réanimation. D’ailleurs, une personne sur 4 développe un trouble de stress post-traumatique après un séjour en réanimation (source : étude citée par Coraline Hingray, psychiatre du CHU de Nancy).

Comment se manifeste ce syndrome de la cabane ?

Avec la COVID19, nous pouvons devenir anormalement anxieux, avoir peur de sortir, de croiser du monde, de tomber malade ou de transmettre le virus. Nous développons alors des troubles dits « d’hyper vigilance« , c’est-à-dire que nous sommes plus attentifs à tout, tout le temps. Nous pouvons aussi être plus sujets à des rituels obsessionnels de lavage et de désinfection. Il peut y avoir également des difficultés à s’endormir ou le développement de troubles alimentaires ou d’addictions plus marquées (tabac, alcool, cannabis, etc…). Si vous souffrez de des troubles, je vous invite vivement à consulter.

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Les troubles de stress post-traumatique arrivent suite un évènement marquant qui a réveillé notre peur de mourir. Ce stress entraînent plusieurs conséquences comme vu plus haut. Des cauchemars, le fait d’éviter des situations ou des personnes en lien avec le virus, d’être en état d’alerte permanent qui fatigue physiquement et nerveusement. On parle de trouble de stress post-traumatique lorsqu’il y a une persistance des symptômes pendant plus d’un mois après l’évènement traumatisant. Et en 2020, l’un des évènements traumatisants peut être le contexte sanitaire de la COVID-19 et son confinement.

Syndrome de la cabane… ou de l’escargot !

En fait, cette sensation est baptisée par certains le « syndrome de la cabane » là où d’autres parlent du « syndrome de l’escargot ». Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que cette sensation correspond à l’envie de se recroqueviller, de rentrer dans une coquille rassurante. Un endroit où on se sent protégé, en sécurité, dans un refuge, dans sa coquille... Chez soi.

Qui est le plus touché par ce syndrome ?

Tout le monde peut être touché. Que ce soit une personne lambda, une personne malade ou quelqu’un qui a eu un proche touché par la COVID ou qui a perdu une personne décédée de ce coronavirus. Le sont d’autant plus les personnes ayant de fort terrain anxieux à la base.

Mais comme la situation dure sur plusieurs mois, plusieurs personnes peuvent développer ce syndrome à cause de l’hyper-vigilance maintenue au quotidien.

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Et si on « aime » rester dans sa cabane, c’est grave docteur ?

En réalité, comme pour tout, l’équilibre est la clé. Alors bien sûr, il convient d’évaluer la situation : est-ce que vous restez dans votre cabane pour éviter quelque chose, donc par peur. Ou est-ce que vous y rester par choix et donc guidé par la joie ? Si vous mettez en place un comportement d’évitement, ce n’est pas toujours sain. Suivez les conseils plus loin.

Par contre, il est certain que les personnes plus introverties apprécient plus particulièrement ces périodes de confinement. Attention, l’introversion n’est pas la timidité mais le fait d’être tourné à l’intérieur. Cela signifie qu’une personne introvertie recharge son énergie en faisant des activités tournées à l’intérieur d’elle-même, en faisant des activités tournées vers elle, en étant seule.

Contrairement à l’extraverti qui recharge ses batteries en entrant en contact avec d’autres personnes, en faisant des activités en extérieur, tournées vers l’extérieur. Quand un introverti fait de l’extraversion, ça le fatigue plus qu’une personne qui naturellement est tournée vers l’extérieur. Et vice versa : un extraverti dépense plus d’énergie en restant seul chez lui. A contrario, les personnes plus extraverties attendent avec impatience de pouvoir à nouveau sortir plus librement, de voir du monde, d’échanger avec la famille, les amis, etc..

L’harmonie est en toute chose : un peu d’extraversion, un peu d’introversion sont nécessaires. Pour favoriser introspection ET interaction sociale.

Ce qui fait que pour certains, le confinement est agréable et pour d’autres non. Cela dépend aussi des conditions de vie de chacun.

Des solutions pour lutter contre ce syndrome de la cabane

Alors que faire pendant cette période pour sortir de sa cabane ? Je vous propose ci-dessous des pistes de solutions.

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1. Déculpabiliser !

L’appréhension du dé-confinement est tout à fait normal. C’est comme un processus de deuil : nous ne revivrons pas tout de suite dans le quotidien tel que nous le connaissions jusqu’à présent. Et oui, nous pouvons avoir de la difficulté à nous projeter dans cette nouvelle réalité. C’est OK.

2. Arrêter de se dévaloriser

Oui, déjà on arrête de se juger de manière négative, de se comparer aux autres, à ceux qui ont envie de se dé-confiner, en se disant qu’on n’est pas normal. En réalité, personne ne sait dans le fond ce que l’autre pense, ressent, etc… Et peut-être que « les autres » (qu’on pense toujours mieux que nous), vivent eux aussi des angoisses sans le montrer, voire d’autres anxiétés et difficultés.

3. Pratiquer la positive attitude !

Après avoir appliqué ces bons conseils, il est intéressant de po-si-ti-ver. Pour cela, posez-vous ces quelques questions :

  • Qu’est-ce que ce confinement total ou partiel vous apporte de bon ?
  • A quel besoin important pour vous il vous permet peut-être de répondre ?
  • Quel cadeau cette année 2020 finalement vous apporte ?

Oui même si vous terminez l’année sur les rotules ou les genoux, en rampant, demandez-vous : quel est le cadeau caché ? Qu’est-ce que cela vous a permis de révéler/d’obtenir/de faire, finalement de bon ?

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4. Tirer le meilleur pour la suite

Et une fois que vous avez identifié le positif, déterminez comment vous allez continuer à y répondre en vous adaptant. Par exemple, cela peut être de prendre du temps pour soi. Donc trouvez quelle activité il est possible de faire dans le contexte actuel pour continuer. Puis, planifiez quand vous la pratiquez pour vous apporter ce réconfort et pendant combien de temps.

Pour vous booster à positiver, j’organise une session de coaching tous les jeudis de 11h à midi. C’est gratuit ! Et en vous inscrivant, vous avez accès à toutes les rediffusions.

5. Échanger, parler, communiquer !

Tout simplement, parlez avec vos amis, votre famille de ce que vous vivez et de ce que vous ressentez. Vous n’êtes pas les seuls à vous poser ces mêmes questions. Effectivement, cette période a permis à beaucoup d’entre nous d’effectuer une forme d’introspection, de prendre conscience de la façon dont nous utilisons notre temps, de ce qui est finalement important pour nous. Il y a donc un besoin de changement très fort, un phénomène courant lorsqu’on vit des évènements de vie qui nous interroge sur le sens de notre existence.

Nous réalisons que nous n’avons qu’une seule vie. Alors comment souhaitez-vous en profiter pleinement ? Répondez et ensuite agissez !

6. Sortir progressivement

Pour agir et bien c’est très simple : s’exposer progressivement au risque pour vous habituer et cesser l’hyper-vigilance. Il s’agit de reprendre progressivement contact avec l’extérieur pour mettre en place de nouvelles habitudes qui vont développer votre sentiment d’habitudes et de sécurité sans augmenter votre hyper-vigilance. Plus on est expérimenté dans un domaine, plus on développe sa confiance, en soi, en les autres et en l’avenir aussi. Vous développez ainsi votre capacité à vous adapter et gagnez en agilité et en souplesse dans ce contexte.

Bien sûr, vous n’êtes pas obligés de le faire seul. vous pouvez sortir en compagnie d’une autre personne. L’idéal est de le faire en étant accompagné d’une personne en qui vous avez confiance, à votre écoute et qui vous montrera la situation de manière positive avec de nouvelles habitudes de vie !

7. Consulter un professionnel de la relation d’aide

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Et puis, si ce syndrome de la cabane vous envahit tellement qu’il en devient trop limitant pour vous, consultez. Vous pouvez déjà appeler l’aide psychologique mis en place dans le cadre du contexte. Cliquez ici pour voir le lien. Contactez votre médecin traitant, il saura vous conseiller et vous rediriger vers un professionnel de santé.

Et bien sûr, si vous sentez que vous avez besoin d’une coach de vie pour vous aider à harmoniser pensées, émotions, comportements pour passer à l’action, cliquez ci-dessous.

J’ai également créé un appel téléphonique pour vous apporter écoute et conseil positif pendant une heure ensemble, en toute simplicité. Cliquez sur l’image dessous pour y accéder. Si le lien est désactivé, contactez-moi. Je reste à votre écoute via ma messagerie, n’hésitez pas : contactez-moi.

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Et puis, dès maintenant, vous disposez d’un outil précieux : votre corps. Je vous délivre quelques astuces pour lutter contre le stress et l’anxiété grâce à votre corps, dans cet article que j’ai rédigé.

Prenez soin de vous.


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